Connaissez-vous ce que l’on appelle en bon français une « flash mob » ? Je vous invite à découvrir ces événements qui surviennent dans des lieux publics de grand passage et qui sont par la suite relayés et diffusés largement sur Internet pour qu’un plus grand nombre encore en profite.
C’est décidé ! De temps en temps, je vous ferai partager des coups de cœur, vidéos ou photos clin d’œil. Évidemment, vous n’êtes pas obligés d’éprouver les mêmes coups de cœur mais je ne doute pas de toucher juste parfois !
Vous êtes prêts ? Je vous invite cette semaine à prendre de la hauteur, à vous extraire de l’endroit où vous vous trouvez pour atteindre des sommets de poésie. Continue reading
On les appelle aidants familiaux mais qui sont-ils ces anonymes auxquels est dédiée une Journée nationale le 6 octobre ? Ce sont 4 millions de personnes, d’âge, de situation et de revenus très variables, potentiellement vous et moi…
Nous avons tous des proches qui, à un moment donné, peuvent devenir fragiles. L’âge, la maladie, la dépression sont autant de « choses de la vie » qu’aucun d’entre nous n’est préparé à assumer et que chacun d’entre nous appréhende.
J’ai toujours aimé les cafés et leurs terrasses. Entre le café PMU qui se lève tôt et sort le verre ballon pour les habitués, le café parisien qui aligne les p’tits noirs à toute heure et le café de village, les différences sont grandes, comme entre trois pays, trois cultures, trois manières d’être. A mi chemin entre la maison et la rue, le café est cet endroit ouvert à tous où l’on peut se poser dix minutes ou deux heures, à condition bien sûr de consommer. Je suis toujours très amusée des cafés où, la commande à peine servie, on vous tend l’addition. Ce sont des cafés sans âme ou la caisse enregistreuse rythme des journées sans poésie.
C’est quoi les grandes vacances ? Le soleil et l’odeur de la crème solaire ? Les amis, la famille et l’odeur du barbecue ? Ne porter ni montre ni veste ? Ressortir ses tongs et casser son réveil ? Oublier son portable ? Déjeuner à 16h et dîner à l’aube ? Chacun a sa propre définition des grandes vacances et s’invente son propre programme : repeindre une maison du grenier au sous-sol, jouer pieds nus au foot sur la plage, trouver un job d’été, faire la fête à Saint-Tropez, bronzer idiot, lire à l’ombre, se plonger dans l’arbre généalogique de la famille, construire le plus beaux des châteaux de sable, avoir son premier amour d’été, partir en colo, « les jolies colonies de vacances, merci maman, merci papa , tous les ans, je voudrais que ça r’commence, youkaïdi aïdi aïda »… De Prévert à Perret, de la rime à la prose, c’est toujours la clé des champs et l’innocence de l’enfance que l’on célèbre !
Nous y sommes, en juillet, ce mois que les élèves attendent par milliers ! A l’approche des grandes vacances, tout rime avec l’été : les cartables usés, les cahiers déchirés, les livres écornés, les trousses trouées, les absences répétés, l’attention limitée, les professeurs essoufflés, les élèves énervés et les pensées à mille lieues de tout énoncé !
Un tableau à ciel ouvert…
Connaissez-vous les plages du Nord ? Née bien au Sud de la Loire, je n’imaginais ces plages qu’au travers d’un couplet d’une chanson de Brel…
Avec la mer du Nord pour dernier terrain vague
Et des vagues de dunes pour arrêter les vagues
Et de vagues rochers que les marées dépassent
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Comment nos parents pourraient-ils un jour dépendre de nous ? Attendre de nous présence, réconfort et avis éclairé. Comment envisager qu’un jour nous aurons à nous charger des conduites, non vers un énième cours de danse mais vers un énième rendez-vous médical ? Qu’un jour, nous assurerons peut-être repas, ménage, et peut-être même des toilettes ?
Aucun d’entre nous n’est serein devant cette perspective. Et nous avons aujourd’hui les meilleures excuses du monde : la distance, le travail, les loisirs… Pourtant, les générations précédentes assumaient davantage leurs parents. Le repas dominical allait de soi, entre devoir et coutume.
Les média traitent abondamment d’un sujet sensible : la dépendance, le « cinquième risque » du langage politique. Au risque de mourir (et les probabilités sont fortes même au XXIème siècle !), s’est ajouté le risque de « peser » sur l’équilibre de la société. Ce matraquage contribue à stigmatiser le grand âge et c’est bien dommage, car il y a tant de nouvelles pistes pour que grand âge ne soit pas synonyme de dépendance. S’il faut aider au mieux les personnes confrontées à la perte d’autonomie, il ne sert à rien d’agiter comme un épouvantail ce risque naturel de la vie. Celle-ci est déjà suffisamment anxiogène : peur du chômage, de la maladie…
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